conference de presse malouda
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conference de presse malouda
En ce premier jour de rassemblement des Bleus au Centre Technique National Fernand-Sastre à Clairefontaine, Florent Malouda (photo) a participé à la conférence de presse juste avant de prendre la direction des terrains avec le reste du groupe.
Selon Laurent Blanc, vous êtes le meilleur joueur français actuellement. Qu'en pensez-vous ?
"J'apprécie, c'est forcément un compliment qui fait plaisir. En espérant qu'il pensera cela jusqu'au bout. Je suis en forme, ça se passe bien en club, j'ai fait en sorte de bien reprendre, j'ai bien géré les vacances, la préparation, et j'en récolte les fruits. Je suis en pleine confiance."
Faire partie des cadres rescapés du Mondial 2010 donne-t-il plus de responsabilités ?
"Pas forcément. C'est comme d'habitude. Les responsabilités, c'est le coach qui les détermine. Comme je l'ai dit à la fin de la Coupe du Monde, j'aimerai vivre des moments agréables en Equipe de France. Pour cela, il faut faire le nécessaire, gagner des matches. Il y a eu des changements, qui seront faciles à digérer. L'essentiel, c'est de travailler sur la confiance pour gagner des matches."
Avez-vous digéré l'épisode sud-africain ?
"J'ai fait le nécessaire pendant les vacances même si cela restera gravé et ce n'est pas quelque chose que l'on peut effacer en se disant: "on tourne la page, on n'y pense plus". Il faut avancer. J'étais désolé de ce qui s'est passé là-bas, mais ce qui est important, c'est l'avenir. J'ai essayé de mettre la barre plus haut et en ce moment, je récolte. Je suis toujours aussi déterminé. Après, le contexte sera peut-être plus favorable mais au niveau de l'implication, c'est toujours pareil. Un joueur, pour donner sa pleine mesure, a besoin de l'équipe nationale. J'ai besoin de l'équipe nationale pour accomplir des choses biens dans ma carrière."
Avez-vous eu envie d'arrêter les Bleus ?
"Non. Même si tout n'a pas été agréable. Ce n'est pas dans mon tempérament d'abandonner même après le match contre l'Afrique du Sud où j'étais dégoûté. Quand, je suis rentré chez moi, j'ai eu des marques de soutien. C'est le statut d'international qui m'a permis d'en être là où je suis. Je ne plaisantais pas quand je parle de la Coupe du Monde au Brésil, peut-être que je rêve éveillé mais c'est mon objectif."
Selon Laurent Blanc, vous êtes le meilleur joueur français actuellement. Qu'en pensez-vous ?
"J'apprécie, c'est forcément un compliment qui fait plaisir. En espérant qu'il pensera cela jusqu'au bout. Je suis en forme, ça se passe bien en club, j'ai fait en sorte de bien reprendre, j'ai bien géré les vacances, la préparation, et j'en récolte les fruits. Je suis en pleine confiance."
Faire partie des cadres rescapés du Mondial 2010 donne-t-il plus de responsabilités ?
"Pas forcément. C'est comme d'habitude. Les responsabilités, c'est le coach qui les détermine. Comme je l'ai dit à la fin de la Coupe du Monde, j'aimerai vivre des moments agréables en Equipe de France. Pour cela, il faut faire le nécessaire, gagner des matches. Il y a eu des changements, qui seront faciles à digérer. L'essentiel, c'est de travailler sur la confiance pour gagner des matches."
Avez-vous digéré l'épisode sud-africain ?
"J'ai fait le nécessaire pendant les vacances même si cela restera gravé et ce n'est pas quelque chose que l'on peut effacer en se disant: "on tourne la page, on n'y pense plus". Il faut avancer. J'étais désolé de ce qui s'est passé là-bas, mais ce qui est important, c'est l'avenir. J'ai essayé de mettre la barre plus haut et en ce moment, je récolte. Je suis toujours aussi déterminé. Après, le contexte sera peut-être plus favorable mais au niveau de l'implication, c'est toujours pareil. Un joueur, pour donner sa pleine mesure, a besoin de l'équipe nationale. J'ai besoin de l'équipe nationale pour accomplir des choses biens dans ma carrière."
Avez-vous eu envie d'arrêter les Bleus ?
"Non. Même si tout n'a pas été agréable. Ce n'est pas dans mon tempérament d'abandonner même après le match contre l'Afrique du Sud où j'étais dégoûté. Quand, je suis rentré chez moi, j'ai eu des marques de soutien. C'est le statut d'international qui m'a permis d'en être là où je suis. Je ne plaisantais pas quand je parle de la Coupe du Monde au Brésil, peut-être que je rêve éveillé mais c'est mon objectif."
boulanger j- Journaliste
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